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L’utopie du tout renouvelable Format Kindle
L’adéquation entre un système électrique reformaté en fonction de la politique bas carbone de l’Union Européenne et les critères de sécurité d’approvisionnement électrique, de compétitivité et d’empreinte carbone, est-elle réalisable ?
Une production d’électricité entièrement renouvelable d’ici à 2050 (encore très largement intermittente à cette date) exigerait des investissements énormes dans les réseaux de transport et de distribution d’électricité, y compris dans les interconnexions entre pays voisins et dans l’électronique, ainsi que dans le stockage d’électricité.
Ces dépenses qui affectent lourdement le pouvoir d’achat des ménages et la compétitivité des industries, viennent s’ajouter aux contraintes imposées aux consommateurs finaux et ne se justifieraient que si des technologies efficaces sont disponibles, en temps voulu, à des coûts suffisamment bas, et si la dépendance des importations électriques reste très limitée. Cette situation est aggravée en cas de sortie du nucléaire dans les Etats membres qui en disposent.
Ingénieur électricien et mécanicien de l’Université de Louvain (UCL), Jean Pierre Schaeken Willemaers a commencé sa carrière comme enseignant dans cette même université. Il est, à présent, administrateur d’entreprises industrielles, membre de l’« advisory board » de l’Institut Thomas More (Paris) et Président du pôle énergie, Climat, Environnement de ce think tank.
- LangueFrançais
- ÉditeurAcadémie royale de Belgique
- Date de publication24 mai 2017
- Taille du fichier1.0 MB
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Détails sur le produit
- ASIN : B0723BSJ52
- Éditeur : Académie royale de Belgique; 1er édition (24 mai 2017)
- Langue : Français
- Taille du fichier : 1.0 MB
- Synthèse vocale : Activée
- Lecteur d’écran : Pris en charge
- Confort de lecture : Activé
- Word Wise : Non activé
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 59 pages
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 484 365 en Boutique Kindle (Voir les 100 premiers en Boutique Kindle)
- 508 en Techniques industrielles (Boutique Kindle)
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- Avis laissé en France le 25 juin 2017Ce livre a bien des mérites. Le premier est d'afficher une neutralité sur l'origine anthropique d'un éventuel réchauffement climatique. L'auteur n'en est que plus à l'aise pour démonter la promotion européenne de l'électricité sans carbone, et, plus précisément, de l'éolien et du photovoltaïque. Ces sources, très coûteuses et, souvent, fragiles, sont intermittentes. Elles doivent donc être secourues par des générateurs classiques polluants et des réseaux à la mise en oeuvre trop complexe. Les arguments alignés sont implacables. Seront-ils suffisants pour enrayer une folie collective ? J'en doute.
- Avis laissé en France le 14 avril 2019Ce livre rappelle ce qui est une évidence, à savoir que ces énergies renouvelables (hormis l'énergie hydraulique) ne sont qu'intermittentes, ce qui implique de conserver les ressources actuelles, en particulier le nucléaire qui est de très loin le plus économique, mais aussi les centrales au gaz essentielles pour pallier à l'intermittence du renouvelable.
Ce qui est inadmissible c'est que l'Europe en particulier, nous pousse aussi fortement vers ces énergies nouvelles (éolien et photovoltaïque) avec des aides faramineuses et incompréhensibles, en faisant tout pour nous faire abandonner ce dont nous disposons aujourd'hui sous des prétextes mensongers.
Le contribuable en paye largement déjà la facture et ce n'est qu'un début, au travers des augmentations de tarifs d'EDF pour satisfaire la demande qui lui est faite de reprendre prioritairement ces énergies renouvelables, largement intermittentes, à des prix prohibitifs en réduisant la part de nucléaire.
Les subventions accordées à la génération d’électricité renouvelable par différentes voies et, entre autres, par le système ETS, ne sont accordées ni aux centrales au gaz, cependant essentielles pour compenser l’intermittence du renouvelable, ni au nucléaire n’émettant pas plus de GES que le renouvelable intermittent.
On veut à tout prix nous faire fermer Fessenheim, alors que la centrale américaine qui lui avait servi de modèle vient d'avoir l'autorisation de poursuivre son utilisation pour 60 années, sans avoir bénéficié des améliorations de sécurité imposées en France.
Le décret de fermeture de Fessenheim a été pris dans les derniers jours du mandat de Ségolène Royal. Le président de l’Autorité de Sûreté Nucléaire déclarait pourtant encore en octobre 2018 « Fessenheim est la centrale [d’EDF] qui présente les meilleurs résultats en termes de sûreté ». Cette fermeture étant imposée politiquement, les actionnaires de la centrale recevront un dédommagement pouvant se monter à plusieurs milliards d’euros et les collectivités locales de plusieurs millions, le tout prélevé sur le budget de l’Etat. Ce site, rentable, fait aujourd’hui vivre plus de 5000 personnes dont la moitié d’emplois directs et génère des millions d’euros d’activités pour les entreprises et artisans du territoire, qui en dépend pour sa survie.
De tous les déchets industriels et ménagers, les déchets radioactifs sont ceux qui posent le moins d’inquiétude aux autorités sanitaires et environnementales.
En France le prix de l’électricité est l’un des moins chers et des plus stables d’Europe grâce à notre parc nucléaire. Nous perdrons cet avantage si nous ne le renouvelons pas.
L’énergie nucléaire est incontournable dans le combat contre le changement climatique car il est, à court et moyen terme, techniquement impossible aux énergies éoliennes, solaires et aux bioénergies de remplacer l’énergie nucléaire et les énergies fossiles, quels que soient les niveaux d’investissement.
Les 75% de production d’électricité d’origine nucléaire dans notre mix électrique sont un facteur essentiel d’indépendance et contribuent à protéger la France des chocs politiques et économiques mondiaux.
Autre point capital: une énorme majorité de scientifiques considèrent que le CO² n'est pour rien dans le réchauffement climatique et qu'il est par contre capital pour nourrir les habitants de notre planète car il est le premier engrais pour la végétation et que son augmentation a permis une augmentation considérable des rendements. De toute façon, tous nos efforts seraient vains car ils ne changeraient rien à notre implication dans notre taux de rejet actuel de CO² qui est très faible (0,9%)
Il est important de savoir aussi que le réchauffement catastrophique annoncé n'a été enregistré que dans la période 1975/1998 avec une hausse inférieure à 1 degré et qu'il est stable depuis.
Les glaciers fondent dans l'hémisphère nord mais augmentent fortement dans l'antarctique.
Les niveaux des océans sont en hausse constante d'environ 1 mm par an depuis depuis que des relevés sérieux sont effectués (sans doute par suite de comblement consécutif à l'érosion)
Les sommes engagées dans le renouvelable sont tellement considérables qu'elles ne peuvent manquer de créer des opportunités malhonnêtes. On commence à le découvrir avec l'éolien, notamment en Allemagne, pays précurseur. Les coûts de démantèlement n'ont pas été provisionnés alors qu'ils sont particulièrement onéreux.
Les conséquences des éoliennes sur l'environnement sont déplorables pour les paysages, les oiseaux, à cause du bruit et peut-être des répercussions sur la santé (humaine et animale).
Les panneaux photovoltaïques importés de Chine ne sont pas recyclables.
Une infime partie seulement des fonds investis dans ces énergies renouvelables permettrait sûrement de récupérer nos déchets qui envahissent notre planète, empoisonnent l'eau tant sur terre que dans les océans, mais cela n'intéresse personne car cette collecte ne serait pas rentable !
- Avis laissé en France le 12 juin 2019Que font les décideurs après la lecture de tels ouvrages ? RIEN, ils ne les ont pas lu , tout simplement.
Peu de gens s’interroge réellement sur les décisions prises par nos politiques et les dépenses qui vont avec.
Beaucoup d’ouvrages traitent du même problème avec les mêmes observations , c’est désolant pour les générations futures.
- Avis laissé en France le 25 août 2017Excellent ! Juste un rêve, c'est que les politiciens qui prétendent avoir la science infuse et nous imposer par la force reviennent à un bon sens élémentaire. Mais c'est peut être trop demander, de la part de gens drogués à l'argent facile de nos impôts ....
- Avis laissé en France le 17 août 2017Une excellente mise au point sur un sujet qui n'est jamaiss traité de façon complète dans la presse.Se lit facilement.
- Avis laissé en France le 18 juin 2017Je recommande vivement la lecture de ce tout petit (80 pages) ouvrage de synthèse sur l'électricité européenne.
Après la sortie américaine de l'Accord de Paris, il se confirme que l'Europe s'engagera, seule, dans la voie d'une électricité tout intégralement générée par de l'énergie renouvelable (soleil, vent).
Schaeken traite la question de manière purement technique et terre-à-terre. Il commence par examiner les conditions de réalisation d'un système électrique "bas-carbone". La production de l'éolien et du photovoltaïque suppose de couvrir nos mers et nos champs d'éoliennes, nos toits et nos territoires de panneaux photovoltaïques, ce qui requiert des sommes inouïes qui seront et sont déjà financées par le contribuable. L'adaptation de nos réseaux de distribution au caractère intermittent de l'électricité renouvelable suppose également des sommes colossales — 1500 milliards d'euros d'ici 2050... pour le seul transport de l'électricité ! "Ce n'est pas grave, c'est l'Etat qui paie." Schaeken montre enfin que les techniques de stockage — sans lesquelles l'électricité renouvelable n'est pas apte à assurer un minimum de sécurité d'approvisionnement, exclure les "black-outs", etc. — n'existent à l'heure actuelle tout simplement pas, et que rien ne permet de prédire qu'elles existeront un jour sous une forme qui ne soit pas grossièrement onéreuse.
Dans une deuxième partie, Schaeken examine l'impact d'une politique bas carbone sur le système électrique européen. Il montre que la sécurité d'approvisionnement est déjà compromise par le mixte électrique actuel, et que par les motifs exposés dans la première partie cette sécurité sera de plus en plus précaire. Quant à la compétitivité, l'équation est simple : les entreprises européennes payent leur électricité de plus en plus cher, tandis que leurs concurrents mondiaux, y compris américains, ont accès à une électricité qui l'est de moins en moins. L'idée que le développement de l'électricité "verte" favorisera l'emploi et la croissance est une plaisanterie : chaque emploi "vert" naît de la subvention de l'Etat, pour un montant qu'il aurait été plus efficace économiquement de laisser dans l'économie marchande. On estime qu'un emploi vert "tue" deux emplois sains. Quand, par ailleurs, la conséquence de l'opération est de renchérir — et dans quelles proportions ! — le prix de l'électricité de toutes les entreprises et professions marchandes sans aucune exception, on mesure aisément que l'opération relève d'une forme de sabotage à grande échelle. Tout cela au nom de la "science" d'un organisme, le GIEC, dont il a été démontré qu'il n'a rien de scientifique et qu'il est intégralement politique.
En résumé, l'Europe a déjà dépensé des sommes folles pour l'utopie du tout renouvelable, elle s'apprête à en dépenser bien davantage encore, tout cela avec une influence marginale sur les émissions de CO2, et nulle sur la température moyenne du globe.
L'environnementalisme est le marxisme de notre temps.
- Avis laissé en France le 28 décembre 2018À lire absolument pour être ENFIN informé !